Aller au contenu

Page:Vaucaire - Parcs et Boudoirs.djvu/114

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



Il est las de lire toujours
Des vers qui ne parlent que d’Elle,
Des joyeux et des tristes jours,
Des vers qu’inspire l’infidèle.


Après que tes griffes, tes dents,
Ont saigné mon cœur en dedans,
Tu lui fais manger des fruits rares
Et sentir des parfums bizarres,

Jouissance qui me tuera,
Comme on se tue à l’Opéra,
La poudre de riz sur la joue,
Tandis que la musique joue.