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Page:Vaucaire - Parcs et Boudoirs.djvu/62

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En l’air, une seule famille
D’oiseaux qui vole et s’égosille ;
Des fleurs, des boutons d’or tremblants
Aux bords de ruisseaux bleus et lents.

Au milieu de ces avenues
Et de ces grandes plaines nues,
Ce coin sera notre boudoir,
Gai le matin, calme le soir ;

Le soleil mettra des murailles
De lumière sous les broussailles,
Et la lune sur le gazon
Limitera notre maison.