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Page:Vaucaire - Parcs et Boudoirs.djvu/85

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Cloches gaies ! cloches tristes !


Nous n’avions jamais entendu
Vibrer les cloches d’un village,
D’un village pauvre et perdu,
Qu’en regardant un paysage
Peint par Millet. Me comprends-tu ?

Mais aujourd’hui, date infinie,
Le vieux clocher chante pour nous.
Vite, allons prier à genoux,
Je serai béni, toi bénie.