Aller au contenu

Page:Verhaeren - La Multiple Splendeur, 1907.djvu/75

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Magnifiez-vous donc et comprenez-vous mieux !
Si vous voulez savoir où la clarté réside,
Croyez que l’or vibrant et les astres des cieux
Songent, sous votre front, avec leurs feux lucides.

Tout est similitude, image, attrait, lien ;
Ainsi que les joyaux d’un bougeant diadème,
Tout se pénètre et se mire, ô femmes, si bien
Qu’en vous et hors de vous, tout est vous-mêmes.