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Et maintenant encor ma plus ferme pensée
Pour y puiser l’amour s’élève de mon cœur ;
Car, bien que vous m’ayez abandonné, Seigneur,
Ma ferveur d’autrefois ne s’est point apaisée.
Et maintenant encor ma plus ferme pensée
Pour y puiser l’amour s’élève de mon cœur ;
Car, bien que vous m’ayez abandonné, Seigneur,
Ma ferveur d’autrefois ne s’est point apaisée.