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Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/116

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Et c’est doux de les voir aller, venir ainsi,

Dans la fraîcheur et la splendeur
Qui les effleure,
Sans crainte aucune et sans souci,
Qu’ils ramènent, du fond à la surface,
D’autres regrets que des regrets fugaces.