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Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/122

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Car aimer, c’est agir et s’exalter sans trêve ;
Ô toi, dont la douceur baigne mon cœur altier,
À quoi bon soupeser l’or pur de notre rêve ?
Je t’aime tout entière, avec mon être entier.