Aller au contenu

Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/28

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Nous écoutions se taire, en nous, la violence

De l’exaltant amour qu’emprisonnaient nos bras
Et le vivant silence
Dire des mots que nous ne savions pas.