Aller au contenu

Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/46

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


.....Et je voudrais baiser leurs doigts qui t’ont touchée,

.....Et leur crier des mots qu’ils ne comprendraient pas,
.....Et j’écoute longtemps se cadencer leur pas

.....Vers l’ombre où les vieux soirs tiennent la nuit penchée.