Aller au contenu

Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/52

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Restons quand même, et pour toujours, les fous

De cet amour presque implacable,
Et les fervents, à deux genoux,
Du Dieu soudain qui règne en nous,
Si violent et si ardemment doux
Qu’il nous fait mal et nous accable.