Aller au contenu

Page:Verhaeren - Les Villes à pignons, 1910.djvu/21

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Vous vous armez encor de trop d’entêtement,
Damme, Courtrai, Ypres, Termonde,
Pour n’être plus au vent du monde
Que des tombeaux d’orgueil flamand

Et n’avoir plus aucun remords, aucun sursaut
En ces heures de somnolence,
Où le visage du silence
Se mire seul dans vos canaux.