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» Tu m’as distrait par ton soufflet
D’une posthume ardeur galante
Et d’une pose nonchalante…
Il est parti, le Valet rouge,
Tout à coup noir comme la nuit,
Avec un deuil si clos en lui,
On ne sait plus quel gars il fut,
Ni quel éclair, ni quelle sève
Brûlait et nourrissait son glaive.
Insoucieux de sa flamberge
Et de l’honneur d’être l’atout,
Quand Jean Terlinck commence en Août