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Page:Verhaeren - Poèmes, t2, 1896.djvu/33

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les soirs

 
Lointainement, combien nous les sentons vouloir
Un peu d’amour pour leurs œuvres destituées,
Pour leur errance et leur tristesse aux horizons,

Toujours ! aux horizons du cœur et des pensées,
Alors que les vieux soirs éclatent en blasons
Soudains, pour les gloires noires et angoissées.