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Page:Verhaeren - Poèmes, t3.djvu/35

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les villages illusoires

Le trou parut géant dans la terre fendue
Et rien ne bougea plus ;
Et seules les plaines inassouvies
Absorbèrent, en leur immensité
D’ombre et de Nord,
Ce mort
Dont leur mystère avait illimité
Et exalté jusques dans l’infini, la vie.