Aller au contenu

Page:Verne - Le Chemin de France, Hetzel, 1887.djvu/102

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Le soldat présentait une lettre. (page 93)

aucune nouvelle du dehors. Mais le récit de ma captivité m’entraînerait trop loin. Mes amis de Grattepanche voudront bien attendre que je la leur raconte par le menu. Qu’ils se contentent, pour le moment, de savoir que le temps me parut long, et que les heures s’écoulaient lentes comme la fumée de mai ! Toutefois, paraît-il, je devais me trouver heureux de ne point passer en jugement, car « mon affaire était claire ! » avait dit Kalkreuth. À ce compte-là,