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Page:Verne - Les Naufragés du Jonathan, Hetzel, 1909.djvu/469

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de cette populace en délire, sa rage serait décuplée. Il fallait s’attendre au pire…

Soudain tout s’apaisa. L’hiver était revenu, glaçant l’âme tumultueuse des hommes. Et, du ciel gris, tout ouaté de neige, l’avalanche implacable des flocons tombait, comme un rideau, sur le deuxième acte du drame.