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Page:Verne - Mirifiques aventures de Maître Antifer, Partie II, 1894.djvu/143

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VIII

Où il est démontré que certains passagers ne sont pas bons à embarquer à bord d’un boutre africain.

Le lendemain, à l’abri d’un baobab, qui les défendait contre les torrents de feu du soleil, deux hommes s’entretenaient avec animation. En remontant la principale rue de Loango, où ils venaient de se rencontrer par le plus grand des hasards, ils s’étaient regardés, faisant mille gestes de surprise.

L’un avait dit :

« Toi… ici ?…