Aller au contenu

Page:Verne - Un billet de loterie - suivi de Frritt-Flacc, 1886.djvu/186

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
180
un billet de loterie.

Quand elle quitta la petite chapelle (Page 185.)

– Moi ! »

Était-ce l’usurier de Drammen qui venait de jeter ce mot ? Non ! C’était un jeune homme – un jeune homme à la figure pâle, portant, sur ses traits comme dans toute sa personne, les marques de longues souffrances, mais vivant, bien vivant !

À cette voix, Hulda s’était levée, elle avait poussé un cri, qui avait été entendu de tous. Puis, elle s’était affaissée…