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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/352

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confrëre- sortait souvent à la brune, et ne rem trait que le lendemain, ordinairement ercédë de li-itigue et crotte jusqxfü Péchine. On me raconta encore que Raoul avait une-ciblë·dans son jardin, et qu’il s’exerçait à tirer-· le pisto• let. Tels étaient leslpnopos qui me revenaient de toutes parts.

Dans le même temps, . mes agents me rapportèrent avoir vn chez Raoul un homme qu’ils= présumaient ètreun des assassins signalés :- celuiei ne boitait pas, mais il marchait avec peine, et son costume- était en tout semblable à celâxi que-Fontaine avait décrit., Les agents ajoutaient que : cet homme se- faisait constamment aocompan gner de sa femme, et queles deux. époux. étaiemi. Kart liés avec Raoul. On était de- plus certain’qu’ils- logeaient au premier étage d’une maison. de la rue Coquenard- Toutefois, dans la crainte de donner liëveil sur llobj et de démarches qi1cla prudence prescrivait de faire le plus¤secrètement possible-, on niavait pas jugé à propos de-I T pousser plus- loin l’investigation.· ’ I Ce- rapport fortifiait toutes mes conjectures ; je ne l’eus pas plutôt reçu, que je songeai en · aller poster aux aguets à proximité de la mai·•·· son qui m’avai’t été désignée. Il était nuit, .fat-Ã