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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/384

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Sm Wxmou. » Non, le gouvernement de la’ Grande-Bretagne n’a point encore admis de pareille commutation de peine. Je ne. connais pas votre M. Vidocq, mais si c’est un bri= gand, il l’œt beaucoup moins sans doute que ceux qui tiennent suspendue sur sa tète l’épée, qui tombe du moment qu’il y a impossibilité pour lui de remplir un marché abominable. O’méara, qui n’est pas plus que moi partisan de notre ministère, vous attestera quiil ne s’est pas encore avili à ce point. Vous vous taisez, docteur, parlez donc..

Le nocreun O’mÉa1u. » Il ne lui aurait plus manqué que d’avoir choisi parmi les héros de Tyburn ou de Botany-Bey, les agents qui répondent de la sûreté de Londres ; quand les n’voleurs font la chasse aux voleurs, .on n’est jamais certain qu’ils ne finiront pas par s’en= ’ \ tendre, et alors, que devient la chasse ? LE CHEVALIER un SAINT-·IaOUIS. » C’est juste ; io il est inconcevable que, dans tous les temps, »· la police n’ait jamais employé que des hommes ’ » tarés ; ily a tant d’honnêtes gens ! M01. » Monsieur accepterait la place de Vie p docq ?