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Page:Vigny - Stello ou Les diables bleus, 1832.djvu/101

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CHAPITRE V


Une lettre anglaise


Jamais la vénérable ville de Londres n’avait étalé avec tant de grâce les charmes de ses vapeurs naturelles et artificielles, et n’avait répandu avec autant de générosité les nuages grisâtres et jaunâtres de son brouillard mêlés aux nuages noirâtres de son charbon de terre ; jamais le soleil