Aller au contenu

Page:Vigny - Stello ou Les diables bleus, 1832.djvu/83

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


CHAPITRE XII


« Voilà une horrible fin, dit Stello, relevant son front de l’oreiller qui le soutenait, et regardant le Docteur avec des yeux troublés… Où donc étaient ses parents ?

— Ils labouraient leur champ, et j’en fus charmé.