Aller au contenu

Page:Vivien - Évocations, 1903.djvu/48

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Sans parfum, sont tissés dans la trame du Songe,
Où l’ivresse qui sourd des pavots se prolonge.

Et les lys ont gardé le souvenir pervers
Des Ombres et du Fleuve immobile aux flots verts,

De la Déesse aux yeux de crépuscule tendre,
Dénouant ses cheveux de poussière et de cendre.