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Page:Vivien - Poèmes, 1909.djvu/169

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QUELQUES SONNETS
IMITANT LES SONNETS DE SHAKESPEARE


I


Ne m’accuse jamais de mensonge, ô ma Douce !
Je ne t’ai pas menti. Je ne te mens jamais.
Je ne fus point toujours irréprochable, mais
Ce blâme immérité de toi, je le repousse.