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Page:Vogüé - Cœurs russes, 1893.djvu/188

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de M. Olénine n’éloignait jusqu’au soupçon d’une fiction romanesque. Il aimait en tout la vérité. D’ailleurs on me l’a dépeint un peu bizarre ; et puis, il arrive dans son pays bien des choses qui ne seraient pas naturelles dans un autre… Enfin, voici son récit.


I