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COMMENTAIRE HISTORIQUE


tenon, du cardinal Albéroni, de la reine Christine, de Mandrin, etc. Le plus naturel de ces beaux esprits[1] était celui qui disait : « Je m’occupe à présent à faire des pensées de La Rochefoucauld[2].

FIN DU COMMENTAIRE HISTORIQUE.

  1. Capron, dentiste très-connu dans son temps. (K.)
  2. L’édition originale et quelques réimpressions se terminaient ainsi :

    « Nous allons donner quelques véritables lettres de M. de Voltaire, d’après ses propres minutes, que nous conservons : nous ne publions que celles dont on peut retirer quelque utilité. »

    Et sous le titre de Lettres véritables de M. de Voltaire, on donnait vingt-neuf lettres ou morceaux ayant la forme épistolaire, qui sont soit dans la Correspondance, soit dans les Mélanges de la présente édition.