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Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/157

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plus surprenants que ce qu’on voit communément, même chez les investigateurs les plus expérimentés. Partout, sa bonne étoile l’a emporté et le monde invisible a déployé ses forces les plus puissantes. À Montevideo, par exemple, tombant dans un cercle de spirites, il était assis devant une fenêtre ouverte la nuit, entouré d’une famille de diabolistes amateurs et inconscients ; de l’autre côté de la large embouchure de la rivière, un grand rayon de lumière jaillissait du phare, au-dessus de l’eau, et lorsque la lumière balaya leurs visages, il discerna, flottant dans le faisceau lui-même, la figure d’un homme. Ce n’était pas la première fois que l’apparition, dans des circonstances similaires, apparaissait au reste de la maisonnée, mais pour lui, elle recelait un mystère plus profond que pour ces spirites non initiés ; bien que l’esprit portait des vêtements d’homme, le docteur, de son œil observateur, reconnaissait le visage de l’esprit : horrible et évocatrice vérité, c’était le celui de la vestale, qui, à Calcutta, s’était fluidifiée dans le troisième temple ; alors il poussa un grand cri ! Il détermina que