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Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/225

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Lemmi au souverain pontificat à la mort d’Albert Pike et au transfert du centre à Rome, semble porter à sa surface tout signe raisonnable qu’il ne peut s’agir d’un récit inventé. En effet, la première impression à la lecture de la déposition de ce témoin nous mène à conclure que nier les principales allégations n’est plus possible. Une analyse minutieuse révèle toutefois des raisons suffisantes pour motiver un jugement différent. En premier lieu, alors que le signor Margiotta affirme le pouvoir suprême du Palladium Réformé, les documents qu’il cite à son appui sont, pour la plupart, des documents du rite écossais ancien et accepté, dont l’immense juridiction ne fait pas de doute. En second lieu, l’autorité d’Albert Pike, comme on le voit dans la plupart des documents, lui vient non pas du Palladium, mais de son poste de chef suprême du Conseil-Mère Suprême du rite écossais ancien et accepté. Ce que le Signor Margiotta appelle la Franc-Maçonnerie Universelle n’est pas du tout le Palladium, mais simplement le rite écossais ; un de ses