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Page:Walch - Anthologie des poètes français contemporains, t3.djvu/66

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Ton sang a le parfum angélique des sèves :
Oh ! quitte le foyer où frissonne l’aïeul,
Vierge, il ne fait pas froid dans l’église du Rêve,
Où — cierges éperdus — s’allument les glaïeuls !

(Vers dorés.)