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ANDRÉ FOULON DE VAULX


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Bibliographie. — Poésies complètes : I [[1894-1896] Les Jeunes Tendresses, avec une préface de Gabriel Vicaire (1894) ; 2° édition augmentée d’un poème nouveau : Le Réveil des Roses (1894); Les Floraisons fanées (1895) ; Les Lèvres pures (1895); Les vaines Romances (1896) ; — II [1897-18991 La Vie éteinte (1897); L’Accalmie (1897) ; Le Jardin Désert (1898) ; — III [1900-1903] L’Allée ou Silence (1904) ; — IV [1904-1906] La Statue muti- lée (1907) ; — V [1907-1909] La Fontaine de Diane (1910) ; — VI [1910-1912] Les Eaux Grises, (1912). —Théâtre : Deux Pastels [La Fée Muguette, poème dramatique en trois actes, Le Portrait, un acte] (1896); — La Petite Soubrette, comédie en un acte, en vers (1898); — Le Peintre du roi, comédie en un acte, en vers : — Chérubin et Franchette, corné die en un acte, en vers. — Roman : Les Âmes Solitaires, études de province [La Sœur aînée (1898) ; Le Veuvage (1899) ; Madame de Lauraguais (1900) ; Ang’ele Ver- neuil (1900) ; Le Déclin (1901)] ; — Amour d’Artiste (1900) ; — La Vieillesse de Louis XV (1900) ; Fine Mouche (1901) ; Jeunesse blonde (1901); — Jamais plus (1902).

Les œuvres de M. André Foulon de Vaulx se trouvent chez Alphonse Lemerre.

M. André Foulon de Vaulx a collaboré au Carnet Littéraire et Historique, au Penseur, aux Arts bibliographiques, à la Revue Internationale, à Poésie (Toulouse), au Soc, au Censeur, à la Province (du Havre), à la Terre de France, aux Argonautes, etc.

Né le 15 mai 1873 à Noyon (Oise), d’une mère appartenant à une vieille famille novonnaiseet d’un père anversois naturalisé Français, M. André Foulon de Vaulx fut élevé par les Domini- cains. À dix-sept ans, il fit la connaissance de M. Jules Truffier, de la Comédie française, qui encouragea ses premiers essais du versification, le fit travailler et le présenta au regretté Gabriel Vicaire. En 1894 parurent, chez Alphonse Lemerre, Les Jeunes Tendresses, signées du pseudonyme André Gérard et précédées d’une préface de Gabriel Vicaire, qui doit être considéré comme le maître de M. André Foulon de Vaulx, encore que Celui-ci doive beaucoup aussi aux conseils d’Emile Pouvillon et à l’en- seignement, par les livres, de Rodenbach et de Saniain. La même année, le jeune poète publia, cette fois sous son vrai nom, une nouvelle édition de son premier recueil, augmentée