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Page:Weil - La Connaissance surnaturelle, 1950.djvu/71

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D’autres ont travaillé, et vous entrez dans leur travail.

Cette moisson, c’est le Christ, que d’autres avaient semé, tous les saints qui l’avaient désiré.

En cela la parole est vraie qu’autre est celui qui sème, autre celui qui récolte.

Celui qui m’a envoyé pour que j’achève son œuvre.

Tout ce que le Père a fait, le fils le fait semblablement.

Il s’agit du bien.

Le Père aime le fils et lui a montré tout ce que lui-même fait.

Mes œuvres témoignent que le Père m’a envoyé.

Parce qu’il fait du bien.

Vous recevez votre gloire les uns des autres, vous ne cherchez pas la gloire de Dieu seul.

Le pain de Dieu est celui qui est descendu du ciel et a donné la vie au monde. Je suis le pain de la vie.

Celui qui a mes commandements et les garde, celui-là est celui qui m’aime. Celui qui m’aime sera aimé par mon père, et moi aussi je l’aime et je lui manifeste ce qui m’appartient.


Histoire du test américain où « oui, (mais seulement au cas où…) » est compté comme faux, parce que la réponse est « non (excepté au cas où…) ».

Les hommes raisonnent presque toujours ainsi.


Vous pensez avoir la vie éternelle dans les Écritures.

Il n’est pas venu seulement à travers l’eau, mais à travers l’eau et le sang. C’est-à-dire qu’il n’était pas seulement matière et Dieu ; il avait une âme humaine (la ψυχή est dans le sang). Une âme humaine peut être absolument pure, faite d’eau et de souffle.

Celui qui croit au fils de Dieu a le témoignage en lui-même.

La foi est le témoignage.

« Roi de la paix, sans père, sans mère, sans généalogie, n’ayant ni commencement de sa vie ni fin de ses Jours, rendu semblable au fils de Dieu, il demeure prêtre à perpétuité. »