Basson :
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Contrebasson :
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Si les flûtes et les hautbois étaient connus dès la plus haute antiquité, avant notre XVIIIe siècle on ignorait les clarinettes. Quant au basson, on l’attribue à un chanoine de Pavie (1540), cherchant une meilleure basse que celle du hautbois-basse (il y avait alors hautbois-alto, hautbois d’amour, hautbois de chasse, hautbois-basse).
Les cors. ↔ Le groupe des cors est un intermédiaire entre les bois et les cuivres, leur son ayant une intensité très supérieure à celle des bois, mais pouvant, dans la douceur, se fondre avec eux. Dans la force, il s’associe aux trompettes et aux trombones ; l’unisson des quatre cors s’entend au milieu du fracas de l’orchestre.
Leur timbre ? Trois colorations : le son naturel, doux et poétique ; le son cuivré, strident, métallique ; le son bouché qu’on obtient en oblitérant de la main la moitié du pavillon, et qui produit avec la clarinette le minimum de sonorité à l’orchestre.
Seul, le médium de la clarinette peut donner un pianissimo aussi diaphane.