Page:Zola - Nouveaux contes à Ninon, 1893.djvu/274

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Grave ! me répondit-il en riant, vous en avez pour trois semaines à garder le lit et à vous refaire du sang.

Je me tournai contre le mur, ne voulant pas laisser voir mes larmes. Et j’aperçus des yeux du cœur Babet et mon oncle Lazare qui me tendaient les bras. J’en avais fini avec les luttes sanglantes de ma journée d’été.