Suite de Joseph Delorme/Répit
RÉPIT
Ôtez, ôtez bien loin toute grâce émouvante,
Tous regards où le cœur se reprend et s’enchante ;
Ôtez l’objet funeste au guerrier trop meurtri !
Ces rencontres, toujours ma joie et mon alarme,
Ces airs, ces tours de tête, ô Femmes, votre charme ;
Doux charme par où j’ai péri !