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noyer.

diverses distances, de 0m,25 à 0m,50, pour les fournitures de bois, de taillis, de bordures ou de massifs, à divers âges ou de différentes forces.

Replantation par carrés des variétés prises en marcotte et en boutures, à 0m,50, pour l’approvisionnement des jardins fruitiers.

Élevage sur petite tige, obtenue par recepage, des espèces généreuses, à gros fruit, pour les plantations de rapport telles que notre midi en possède.


Noyer. — Juglans.

Arbre fruitier ou forestier, approvisionnant l’industrie du bois, l’alimentation publique, l’huilerie et les préparations économiques ou ménagères.

Arbre de chemins ruraux, du grand verger de la ferme, de plaine ou de montagne, à l’abri des gelées printanières et des grands hivers, si possible.

Semis. — Durée germinative de la graine : six mois.

Mettre en stratification les noix mûres et asséchées, à l’entrée de l’hiver ; semer en pleine terre en rayon, assez dru, pincer la radicule.

Repiquer le plant fluet, mal chevelu ; écimer le pivot et non la flèche.

La noix d’Amérique, semée en février lèvera la même année. La noix dite d’Europe, plus précoce en végétation, sera semée plus tard, afin d’échapper aux gelées « de mai ».

Par le semis, le Noyer à fruit comestible produit la bonne noix ordinaire. Le N. tardif, dit « de la Saint-Jean », fournit 75 p. 100 de son espèce. Le N. hétéro-