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Table des matières

(ne fait pas partie de l’ouvrage original)

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Les sorcières, s’il faut en croire les légendes, furent les premières à pratiquer l’Aviation. 

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Don Quichotte lui aussi fut un précurseur… 

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Ainsi que Pégase, l’aéro favori des poètes… 

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Mais nous avons de bonnes raisons pour croire que l’aéroplane était déjà connu à l’ère préhistorique. 

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Une fois familiarisé par l’expérience avec les lois de la pesanteur et des trajectoires aériennes… 

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L’élève pilote, grâce à cet ingénieux procédé, bravera bientôt, impunément, les plus vertigineuses altitudes… 

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Et, après quelques séances d’entraînement, résistera aux plus violents remous de l’atmosphère. 

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S’il sort victorieux de cette épreuve… 

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Il ne lui restera plus qu’à se perfectionner dans l’art difficile de l’atterrissage… 

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Avant de s’élancer dans les airs, suivi des regards d’envie des apprentis aviateurs. 

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Il y a trois sortes de chutes : Chute de l’aviateur. / Chute de l’aéroplane (très rare). / Chute du tout (beaucoup plus fréquente). 

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On construit, néanmoins, à l’usage des gens paisibles des appareils de tout repos, bien supérieurs à nos trains, au point de vue vitesse et sécurité. 

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Une place publique vue à 200 mètres d’altitude. 

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Le premier vol de Marius. Attention à la pelle ! 

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Les animaux en chœur : « C’est un oiseau qui vient de France ! » 

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Tous les pays ne sont pas favorables à l’aviation. Malheur à l’aviateur qui, en Espagne, atterrit en pleine corrida… 

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… ou à celui qui se trouve victime d’une panne de moteur dans quelque île sauvage de Polynésie. 

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Si l’aviateur peut parfois se rire des efforts impuissants des oiseaux de proie… 

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… il est d’autres cas où il rit jaune ! 

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Les volcans semblent tout indiqués pour remplacer les briquets des fumeurs. 

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Les routes aériennes présenteront quelques obstacles… 

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Et les arbres ? Quoi de pire pour l’aviateur… et pour ceux qui sont dessous ? 

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On pourra, il est vrai, remédier aux chutes en munissant les aviateurs de vêtements pneumatiques… 

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… et les paisibles citoyens d’amortisseurs perfectionnés. 

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I. Avant.
II. Après. 

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Avis important : Ne jamais prendre à son bord un passager sujet au mal de mer. 

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Comme la mer avait ses sirènes, les airs auront leurs génies mauvais qui entraîneront les téméraires à leur perte. 

 27

Les fils télégraphiques peuvent servir parfois de filets protecteurs… 

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Mais les haltes au sommet des clochers manquent généralement de confortable. 

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Grâce aux aéro-express, New-York ne sera plus qu’à 1 h. 30 de Paris. Prix du voyage : 1000 dollars (catastrophe comprise). 

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Pour les personnes qui trouveraient cette somme exagérée, nous ajoutons que les aéro-express sont munis du confort moderne et que les voyageurs sont, de la part des employés, l’objet d’une constante sollicitude. 

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L’aspect des gares aura bien changé… 

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… et les voyageurs paieront suivant leur poids ; ainsi ce gros monsieur paiera autant qu’une famille entière. 

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Pour adoucir les chutes, la S. P. A. (Société protectrice des aviateurs) a fait disposer d’ingénieux matelas amortisseurs. 

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Il est peu probable que ce nouveau mode de locomotion remplace jamais les taxi-autos dans les rues de la capitale. 

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Par contre, les avenues aériennes seront sillonnées d’élégants 200 HP… 

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… et l’on pourra prendre son apéritif aussi tranquillement qu’à la terrasse d’un café. 

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Les duels de l’avenir seront beaucoup plus dangereux que ceux d’aujourd’hui… surtout pour les témoins ! 

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Le Pigeon voyageur de l’avenir. On exige la légèreté du style. 

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Déménagements pour tous pays par aéros capitonnés. Maison de confiance. 

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L’ouverture de la chasse en l’an 2000. 

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Flagrant délit ! 

 42

Championnat de boule au siècle prochain. 

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L’ouverture… des hostilités. 

 44

Plus de sécheresses grâce à l’aérosoir (B. S. G. D. G.). 

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Le vainqueur du Grand Prix. 

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Un match modern-style. 

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Départ de l’aérobus Biskra-Tombouctou. 

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Enfin, quand l’observation des poissons volants… 

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… nous aura permis de construire des sous-marins volants, l’Aviation aura dit son dernier mot. 

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