La Cité de Dieu (Augustin)/Livre III

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Texte établi par RaulxL. Guérin & Cie (Œuvres complètes de Saint Augustin, tome XIIIp. TdM).
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Tome 13
Chapitre premier. Des seuls maux que redoutent les méchants et dont le culte des dieux n’a jamais préservé le monde.
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II. Si les dieux que servaient en commun les Romains et les Grecs ont eu des raisons pour permettre la ruine de Troie.
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III. Les dieux n’ont pu s’offenser de l’adultère de Pâris, ce crime étant commun parmi eux.
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IV. Sentiment de Varron sur l’utilité des mensonges qui font naître certains hommes du sang des dieux.
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V. Il n’est point croyable que les dieux aient voulu punir l’adultère dans Pâris, l’ayant laissé impuni dans la mère de Romulus.
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VI. Les dieux n’ont pas vengé le fratricide de Romulus.
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VII. De la seconde destruction de Troie par Fimbria, un des lieutenants de Marius.
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VIII. Rome devait-elle se mettre sous la protection des dieux de Troie ?
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IX. Faut-il attribuer aux dieux la paix dont jouirent les Romains sous le règne de Numa ?
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X. S’il était désirable que l’empire romain s’accrût par de grandes et terribles guerres, alors qu’il suffisait, pour lui donner le repos et la sécurité, de la même protection qui l’avait fait fleurir sous Numa.
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Chap. XI. De la statue d’Apollon de Cumes, dont on prétend que les larmes présagèrent la défaite des Grecs que le dieu ne pouvait secourir.
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XII. Quelle multitude de dieux les Romains ont ajoutée à ceux de Numa, sans que cette abondance leur ait servi de rien.
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XIII. Par quel moyen les Romains se procurèrent pour la première fois des épouses.
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XIV. De la guerre impie que Rome fit aux Albains et du succès que lui valut son ambition.
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XV. Quelle a été la vie et la mort des rois de Rome.
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XVI. De Rome sous ses premiers consuls, dont l’un exila l’autre et fut tué lui-même par un ennemi qu’il avait blessé, après s’être souillé des plus horribles parricides.
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XVII. Des maux que la république romaine eut à souffrir après les commencements du pouvoir consulaire, sans que les dieux se missent en devoir de la secourir.
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XVIII. Des malheurs arrivés aux Romains pendant la première guerre punique sans qu’ils aient pu obtenir l’assistance des dieux.
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XIX. État déplorable de la république romaine pendant la seconde guerre punique, où s’épuisèrent les forces des deux peuples ennemis.
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XX. De la ruine de Sagonte, qui périt pour n’avoir point voulu quitter l’alliance des Romains, sans que les dieux des Romains vinssent à son secours.
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XXI. De l’ingratitude de Rome envers Scipion, son libérateur, et de ses mœurs à l’époque réputée par Salluste la plus vertueuse.
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XXII. De l’ordre donné par Mithridate de tuer tous les citoyens Romains qu’on trouverait en Asie.
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XXIII. Des maux intérieurs qui affligèrent la république romaine à la suite d’une rage soudaine dont furent atteints tous les animaux domestiques.
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XXIV. De la discorde civile qu’alluma l’esprit séditieux des Gracques.
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XXV. Du temple élevé à la Concorde par décret du sénat, dans le lieu même signalé par la sédition et le carnage.
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XXVI. Des guerres qui suivirent la construction du temple de la Concorde.
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XXVII. De la guerre civile entre Marius et Sylla.
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XXVIII. Comment Sylla victorieux tira vengeance des cruautés de Marius.
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XXIX. Rome eut moins à souffrir des invasions des Gaulois et des Goths que des guerres civiles.
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XXX. De l’enchaînement des guerres nombreuses et cruelles qui précédèrent l’avénement de Jésus-Christ.
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XXXI. Il y a de l’impudence aux Gentils à imputer les malheurs présents au christianisme et à l’interdiction du culte des dieux, puisqu’il est avéré qu’à l’époque où florissait ce culte, ils ont eu à subir les plus horribles calamités.
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