La Cité de Dieu (Augustin)/Livre V
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Chapitre premier. La destinée de l’empire romain et celle de tous les autres empires ne dépendent ni de causes fortuites, ni de la position des astres.
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— II. Ressemblance et diversité des maladies des deux jumeaux.
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— III. De l’argument de la roue du potier, allégué par le mathématicien Nigidius dans la question des jumeaux.
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— IV. Des deux jumeaux Esaü et Jacob, fort différents de caractère et de conduite.
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— V. Preuves de la vanité de l’astrologie.
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— VI. Des jumeaux de sexe différent.
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— VII. Du choix des jours, soit pour se marier, soit pour semer ou planter.
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— VIII. De ceux qui appellent destin l’enchaînement des causes conçu comme dépendant de la volonté de Dieu.
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— IX. De la prescience de Dieu et de la libre volonté de l’homme, contre le sentiment de Cicéron.
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— X. S’il y a quelque nécessité qui domine les volontés des hommes.
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— XI. La Providence de Dieu est universelle et embrasse tout sous ses lois.
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— XII. Par quelles vertus les anciens Romains ont mérité que le vrai Dieu accrût leur empire, bien qu’ils ne l’adorassent pas.
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— XIII. L’amour de la gloire, qui est un vice, passe pour une vertu, parce qu’il surmonte des vices plus grands.
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— XIV. Il faut étouffer l’amour de la gloire humaine, la gloire des justes étant toute en Dieu.
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— XV. De la récompense temporelle que Dieu a donnée aux vertus des Romains.
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— XVI. De la récompense des citoyens de la Cité éternelle, à qui peut être utile l’exemple des vertus des Romains.
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— XVII. Les victoires des Romains ne leur ont pas fait une condition meilleure que celle des vaincus.
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— XVIII. Les chrétiens n’ont pas à se glorifier de ce qu’ils font pour l’amour de la patrie céleste, quand les Romains ont fait de si grandes choses pour une patrie terrestre et pour une gloire tout humaine.
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— XIX. En quoi l’amour de la gloire diffère de l’amour de la domination.
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— XX. Il n’est guère moins honteux d’asservir les vertus à la gloire humaine qu’à la volupté.
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— XXI. C’est le vrai Dieu, source de toute-puissance et providence souveraine de l’univers, qui a donné l’empire aux Romains.
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— XXII. La durée et l’issue des guerres dépendent de la volonté de Dieu.
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— XXIII. De la guerre contre Radagaise, roi des Goths, qui fut vaincu dans une seule action avec toute son armée.
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— XXIV. En quoi consiste le bonheur des princes chrétiens, et combien ce bonheur est véritable.
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— XXV. Des prospérités que Dieu a répandues sur l’empereur chrétien Constantin.
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— XXVI. De la foi et de la piété de l’empereur Théodose.
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