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Livre:Bernard - Introduction à l’étude de la médecine expérimentale, Baillière, 1865.djvu

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TitreIntroduction à l’étude de la médecine expérimentale Voir l'entité sur Wikidata
AuteurClaude Bernard Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionJ. B. Baillière
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1865
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TABLE DES MATIÈRES


PREMIÈRE PARTIE.

DU RAISONNEMENT EXPÉRIMENTAL.
CHAPITRE PREMIER.De l’observation et de l’expérience 
 11
§ I. Définitions diverses de l’observation et de l’expérience 
 12
§ II. Acquérir de l’expérience et s’appuyer sur l’observation est autre chose que faire des expériences et faire des observations 
 20
§ III. De l’investigateur ; de la recherche scientifique 
 25
§ IV. De l’observateur et de l’expérimentateur ; des sciences d’observation et d’expérimentation 
 28
§ V. L’expérience n’est au fond qu’une observation provoquée 
 35
§ VI. Dans le raisonnement expérimental, l’expérimentateur ne se sépare pas de l’observateur 
 39
CHAP. II.De l’idée à priori et du doute dans le raisonnement expérimental 
 48
§ I. Les vérités expérimentales sont objectives ou extérieures 
 51
§ II. L’intuition ou le sentiment engendre l’idée expérimentale 
 57
§ III. L’expérimentateur doit douter, fuir les idées fixes et garder toujours sa liberté d’esprit 
 63
§ IV. Caractère indépendant de la méthode expérimentale 
 71
§ V. De l’induction et de la déduction dans le raisonnement expérimental 
 77
§ VI. Du doute dans le raisonnement expérimental 
 85
§ VII. Du principe du critérium expérimental 
 92
§ VIII. De la preuve et de la contre-épreuve 
 97

DEUXIÈME PARTIE.

DE L’EXPÉRIMENTATION CHEZ LES ÊTRES VIVANTS.
CHAPITRE PREMIER.Considérations expérimentales communes aux êtres vivants et aux corps bruts. 
 101
§ I. La spontanéité des corps vivants ne s’oppose pas à l’emploi de l’expérimentation. 
 101
§ II. Les manifestations des propriétés des corps vivants sont liées à l’existence de certains phénomènes physico-chimiques qui en règlent l’apparition 
 104
§ III. Les phénomènes physiologiques des organismes supérieurs se passent dans les milieux organiques intérieurs perfectionnés et doués de propriétés physico-chimiques constantes 
 107
§ IV. Le but de l’expérimentation est le même dans l’étude des phénomènes des corps vivants et dans l’étude des phénomènes des corps bruts 
 112
§ V. Il y a un déterminisme absolu dans des conditions d’existence des phénomènes naturels, aussi bien dans les corps vivants que dans les corps bruts 
 115
§ VI. Pour arriver au déterminisme des phénomènes dans les sciences biologiques comme dans les sciences physico chimiques, il faut ramener les phénomènes à des conditions expérimentales définies et aussi simples que possible 
 122
§ VII. Dans les corps vivants, de même que dans les corps bruts, les phénomènes ont toujours une double condition d’existence 
 127
§ VIII. Dans les sciences biologiques comme dans les sciences physico-chimiques, le déterminisme est possible, parce que dans les corps vivants comme dans les corps bruts, la matière ne peut avoir aucune spontanéité 
 132
§ IX. La limite de nos connaissances est la même dans les phénomènes des corps vivants et dans les phénomènes des corps bruts 
 137
§ X. Dans les sciences des corps vivants, comme dans celles des corps bruts, l’expérimentateur ne crée rien ; il ne fait qu’obéir aux lois de la nature 
 145
CHAP. II. — Considérations expérimentales communes aux êtres vivants et aux corps bruts. 
 150

§ I. Dans l’organisme des êtres vivants, il y a à considérer un ensemble harmonique des phénomènes 
 150
§ II. De la pratique expérimentale sur les êtres vivants 
 163
§ III. De la vivisection 
 172
§ IV. De l’anatomie normale dans ses rapports avec la vivisection 
 182
§ V. De l’anatomie pathologique et des sections cadavériques dans leurs rapports avec la vivisection 
 195
§ VI. De la diversité des animaux soumis à l’expérimentation ; de la variabilité des conditions organiques dans lesquelles ils s’offrent à l’expérimentateur 
 200
1o Conditions anatomiques opératoires 
 204
2o Conditions physico-chimiques du milieu intérieur 
 206
Eau 
 206
Température 
 207
Air 
 209
Pression 
 209
Composition chimique 
 210
3o Conditions organiques 
 214
§ VII. Du choix des animaux, de l’utilité que l’on peut tirer pour la médecine des expériences faites sur les diverses espèces animales 
 214
§ VIII. De la comparaison des animaux et de l’expérimentation comparative 
 221
§ IX. De l’emploi du calcul dans l’étude des phénomènes des êtres vivants ; des moyennes et de la statistique 
 226
§ X. Du laboratoire du physiologiste et des divers moyens nécessaires à l’étude de la médecine expérimentale 
 247

TROISIÈME PARTIE.

APPLICATIONS DE LA MÉTHODE EXPÉRIMENTALE À L’ÉTUDE
DES PHÉNOMÈNES DE LA VIE.
CHAPITRE PREMIER.Exemples d’investigation expérimentale physiologique 
 265
§ I. Une recherche expérimentale a pour point de départ une observation 
 266
§ II. Une recherche expérimentale a pour point de départ une hypothèse ou une théorie 
 285

CHAP. II. — Exemples de critique expérimentale physiologique 
 302
§ I. Le principe du déterminisme expérimental n’admet pas des faits contradictoires 
 304
§ II. Le principe du déterminisme repousse de la science les faits indéterminés ou irrationnels 
 313
§ III. Le principe du déterminisme exige que les faits soient comparativement déterminés 
 317
§ IV. La critique expérimentale ne doit porter que sur des faits et jamais sur des mots 
 322
CHAP. III. — De l’investigation et de la critique appliquée à la médecine expérimentale 
 333
§ I. De l’investigation pathologique et thérapeutique 
 333
§ II. De la critique expérimentale pathologique et thérapeutique 
 339
CHAP. IV. — Des obstacles philosophiques que rencontre la médecine expérimentale 
 343
§ I. De la fausse application de la physiologie à la médecine 
 343
§ II. L’ignorance scientifique et certaines illusions de l’esprit médical sont un obstacle au développement de la médecine expérimentale 
 351
§ III. La médecine empirique et la médecine expérimentale ne sont point incompatibles ; elles doivent être au contraire inséparables l’une de l’autre 
 359
§ IV. La médecine expérimentale ne répond à aucune doctrine médicale ni à aucun système philosophique 
 382
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.