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Pourquoi ceux qui ont la jaunisse ou bien qui regardent au travers d’un verre jaune jugent que tout ce qu’ils voient en a la couleur. | 66 |
Quel est le lieu où l’on voit l’objet au travers d’un verre plat dont les superficies ne sont pas parallèles. | ibid. |
Et celui où on le voit au travers d’un verre concave. | ibid. |
Et pourquoi l’objet parait alors plus petit qu’il n’est. | ibid. |
Quel est le lieu où il parait au travers d’un verre convexe, et pourquoi il y parait quelquefois plus grand et plus éloigné qu’il n’est, et quelquefois plus petit et plus proche, et avec cela renversé. | 67 |
Quel est le lieu des images qu’on voit dans les miroirs tant plats que convexes ou concaves, et pourquoi elles y paraissent droites ou renversées, et plus grandes ou plus petites, et plus proches ou plus éloignées que ne sont les objets. | ibid. |
Pourquoi nous nous trompons aisément en jugeant de la distance. | ibid. |
Comment on peut prouver que nous n’avons point coutume d’imaginer de distance plus grande que de cent ou deux cents pieds. | ibid. |
Pourquoi le soleil et la lune semblent plus grands étant proches de l’horizon qu’en étant éloignés. | 68 |
Que la grandeur apparente des objets ne doit point se mesurer par celle de l’angle de la vision. | ibid. |
Pourquoi les objets blancs et lumineux paraissent plus proches et plus grands qu’ils ne sont. | ibid. |
Pourquoi tous les corps fort petits ou fort éloignés paraissent ronds. | 70 |
Comment se font les éloignements dans les tableaux de perspective. | ibid. |