Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome V.djvu/535

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Comment les brouillards tombent en rosée ou gelée blanche, et que c’est que le serein. 246
D’où viennent la manne et les autres tels sucs, et pourquoi quelques uns s’attachent à certains corps plutôt qu’à d’autres. 247
Pourquoi, si les brouillards tombent le matin et que la rosée ne tombe point, c’est signe de pluie. ibid.
Pourquoi, si le soleil luit au matin lorsqu’il y a des nues en l’air, c’est aussi signe de pluie. 248
Pourquoi tous les signes de pluie sont incertains. ibid.


DISCOURS SEPTIÈME.
DES TEMPÊTES, DE LA FOUDRE, ET DE TOUS LES AUTRES FEUX QUI S’ALLUMENT EN L’AIR.


Comment les nues en s’abaissant peuvent causer des vents fort impétueux. 250
D’où vient que les fortes pluies sont souvent précédées par un tel vent. ibid.
Pourquoi les hirondelles volent fort bas avant la pluie. ibid.
D’où vient qu’on voit quelquefois tournoyer les cendres ou les fétus au coin du feu dans les cheminées. 251
Comment se font les tempêtes nommées des travades. ibid.
Comment s’engendrent ces feux qui s’attachent aux mâts des navires sur la fin des grandes tempêtes. 253
Pourquoi les anciens voyant deux de ces feux les prenoient pour un bon augure, et en voyant un ou trois pour un mauvais. ibid.
Pourquoi on en voit maintenant quelquefois jusqu’à quatre ou cinq sur un même vaisseau. 254
Quelle est la cause du tonnerre. ibid.