2.
Yasiit ue Tiiraétaona
Cii fragment est un véritable Yasht en riionneur de Tliraêlaoïia, qui n’est point seulement le dompteur du serpent Azhi, mais aussi un guérisseur. On a déjà vu (Yt. XIII, 131) sa Fravashi invoquée pour repousser le gale et autres maladies. Nombre de Tavides ou talismans contre la maladie sont à son nom (Anquetil, Zcnd-Arestu, II, 136-142). 1. Fravarânê. Je me déclaru adorateur de Mazda, disciple de Zarattiustitra, eanemi des Daèvas, seclalcnr de la loi d’Ahura ; Pour sacrifice, prièie, réjouissance et glorification [à Ilàvani’, etc.]. Khsnaothra. Réjouissance à la P’ravashi du saint Tbraêlaona, fils d’Âthwya !
Yathà ahû vairyô Le lldsjn : Le désir du Seigneur... Que ce prêtre Zaolar me le dise !
Le Zôl : C’est ta règle du bien. Que l’homme du bien qui la connaît la proclame- 2. Nous sacrilionsàThraêtaona,tils d’Âthwya, saint, mxilre de sainteté... 3 •• Yatliâ ahû vairyô.
Yasnemca. Ue la Fravashi de Thraètaona, fils d’.Ulnvya, je bénis le sacrifice et la prière, la force et l’agilité. Ashem vohû... Ahmâi raêshca^
1. D’après l’analogie de Yt. I, 0 ; n.jle G. 2. Le texte est trop corrompu pour se prêter à une traduction ; gadinva kurô kurô tarewani karapanô rathwyasnâm bukluâ mahc. 13. Voir les l’orniulcs liiiales de Vt. 111, 18.