Page:Anonyme - La goélette mystérieuse ou Les prouesses d'un policier de seize ans, 1886.djvu/65

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— À moins qu’elle n’ait été assez naïve pour les confier à celui qui nourrit le dessein de prendre sa place, répliqua en riant M. Langlois.

— Il faut à tout prix, avoir cette médaille, déclara M. Turner, d’un ton impérieux.

— Je veux bien essayer de me la faire donner. Mais je ne crois pas qu’il s’en dessaisisse. Il est plutôt sous l’impression qu’il s’est laissé entraîner à trop de confiance vis-à-vis de