Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/63

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

M. de Brides, impatienté.

Oui, oui, pour aujourd’hui, je l’expliquerai cela plus tard.

Et il sort de nouveau.

Jacques écrit jusqu’au dîner, tandis que Gina pleure près de sa bonne.

L’entendant sangloter très fort, Jacques lève la tête et lui dit tout bas : « Pleure pas, Gina, pleure pas, va ! Déjà, papa, quand il était en colère, avait dit qu’il nous enverrait en pension ; il n’y pensera peut-être plus si nous sommes sages ! »