Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/97

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comme il le lui avait proposé, elle ne serait pas malade, à présent. « Quel malheur ! disait-il tout bas, désolé, quel malheur !… » Et, de tout son cœur, il supplia le Bon Dieu de ne pas laisser mourir Gina.