Page:Croiset - Histoire de la littérature grecque, t1.djvu/524

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��flttîfe ^aaditemn du ^oète. Aussi le pbs liéfitMrr 4e cos fg^tneT l'anteor de la 7ft0ifaBi% »4-3 r«préMttté eette Tocatk» «Tue auBièrc toal iiial» 4m% uft morceau justement célèbre TlUffamr, t. 22 e( SUIT. : ce sout les Jf uses hélicouieuses, dit-iL ^pk ^utrtdfÂm enseignèrent â Hésiode ses beaux chats, tandis qu'il faisait paître ses tronpeauxau pied de rSé- licon dirin. Cette fiction gracieuse d'un «iisciple ne se rapporte â aucun sourenir préiris qu*on puiiraf essayer de retrourer sous le récit légendaire. Il n'est pas même question de troupeaux dans les TmmÊX^ et s^il faut faire des conjectures. Fauteur de ce poème était plutôt un laboureur qu^un berger.

Vn événement assez notable de la vie du poète béotien serait acquis k Thistoire, si Ton pouvait tenir pour authentique un passage intéressant des Travaux (v. 650 et suiv.) : Fauteur y rapporte qu*il a navigué une fois seulement dans sa vie, pour aller d^Aulis & Chalcis en Eubée, que là il prit part à un concours poétique pendant les funérailles d'Amphi- damas et fut vainqueur de ses rivaux ; victoire ré- coinpenftéc par un trépied, quUl consacra aux Muses de l'II/dîron. A ce passage des Travaux quelques- uns ajoutaient un vers d'après lequel Homère aurait él/î en cette circonstance le rival malheureux d'Hé- siode*, et cette légende forme le sujet même de l'écrit déjà cité sur le concours des deux poètes; mais Fauteur anonyme ne se contente pas de men- tionner le fameux trépied que vit aussi Pausanias, il donne en outre une prétendue inscription, qui, d'après lui, y aurait figuré', bien que Pausanias, si

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