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Page:Croiset - Histoire de la littérature grecque, t5.djvu/564

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CHAP. IV. — SOPHISTIQUE SOUS LES ANTONINS

vol. in-fol., Amsterdam, 1706, cum notis variorum ; G. Dindorf, 5 vol., Leipzig, 1824, cum notis variorum ; Bekker, Berlin, 1846, texte amélioré sans notes. — Harpocration. Sur les manuscrits, voir la préface de l’édition de Dindorf. Le lexique nous est parvenu sous deux formes, l’une à peu près complète, l’autre abrégée. Pour le texte complet, le meilleur ms. est le Romanus C 4, 17 (A de Dindorf) ; pour l’abrégé, le Palatinus. Première édition : Venise, Alde, 1503. Éditions principales : Maussac, Paris, 1614, avec des notes et une dissertation ; Gronovius, Leyde, 1696, avec ses notes et celles de H. de Valois ; Bekker, Berlin, 1833. La meilleure est celle de G. Dindorf, 2 vol., in-8o, Oxford, 1853. — Héphestion. Sur les manuscrits, consulter la préface de l’édit. des Script. metrici de Westphal. Les trois meilleurs sont deux mss. de Cambridge et un de Paris ; mais ils ne contiennent pas les scolies ; celles-ci se trouvent dans deux manuscrits d’Oxford, le Saibantianus et le Meirmannianus[illisible]. Première édition, Florence, Junte, 1526. Les plus importantes sont : celle de Turnèbe, Paris, 1553 ; de Gaisford, Oxford, 1855 ; enfin de Westphal, dans les Scriptores metrici, t. I, de la Bibliothèque Teubner, 1866, avec les scolies.

Les Parémiographes. Mss. Bodleianus et Coislinianus. — Éditions : Paroemiographi graeci, ed. Th. Guisford, Oxford, 1836 : Corpus Puroemiographirum graecorum edid. E. L. von Leutsch et Schneidewin, 2 vol., Gottingæ, 1839 et 1851.



Sommaire.

I. Importance de la sophistique. Ses origines. — II. Principaux sophistes du second siècle : Nikétès, Scopélien, Isée ; Secundus, Lollianos, Polémon ; Hérode ; ses disciples. — III. Éducation des sophistes, Débit et mimique. Les Ἐπιδείξεις. Voyages, conférences, public. Diverses sortes de discours. Lettres. Descriptions. Les succès des sophistes et leurs mœurs. — IV. Ælius Aristide et Maxime de Tyr, — V. Lucien ; sa vie ; ses œuvres. — VI. Son rôle, sa vocation satirique. Le moraliste ; l’incrédule ; le critique. — VII. Son talent. Esprit et fantaisie. Style. — VIII. Ses créations littéraires : le dialogue ; le pamphlet ; le récit fantastique. Conclusion. — IX. Alciphron. — X. La poésie au second siècle, Oppien ; Babrios ; Straton. — XI. La rhétorique. Alexandre, fils de Nouménios, l’Anonyme de Séguier, Théon ; Hermogène et son œu-