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SUR LE SOL D’ALSACE

« Je suis persuadé que ma mort rapprochera papa et maman, car ils ne sentiront plus entre eux l’âme des Denner dont j’ai hérité.

« Adieu, mon cher Wilhelm, aime bien maman, qui est une martyre, et mon père et toi, pensez à l’Alsace qui ne sera jamais : une vaincue… »

FIN