Page:Gilson - Celles qui sont restées, 1919.djvu/242

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François, encore plus bas. — Oui… Tu m’as conduite… Comme c’est beau…

(L’âpre lutte entre le cœur et la mort, très courte.)

Madeleine, dans un cri. — Tu meurs !

François, illuminé, dressé, les mains hautes et jointes. — Je vis !

(Il s’effondre dans les bras de son amie, qui serre éperdument le frêle et insensible cadavre contre son corps vivant déchiré de sanglots.)