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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

secret de Picquart, 382. — Prend connaissance du rapport de Tavernier, 386. — Ses négociations avec Zurlinden : la mise en jugement de Picquart est fixée au 12 décembre, 387 et note 1. — Assiste à l’entretien de Dupuy avec les délégués des groupes républicains du Sénat, venus pour demander l’ajournement du procès Picquart, 400. — Son discours à la Chambre en suite des interpellations Bos et Massabuau (séance du 24 novembre 1898), 406. — Obtient communication des procès-verbaux des audiences de la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 457. — Son embarras lorsque la Chambre criminelle réclame les pièces secrètes, 458. — Interpellé à la Chambre par Paschal Grousset au sujet des menées de certains fonctionnaires de la Guerre : sa réponse (séance du 12 décembre 1898), 461-463. — Interpellation Lasies sur le dossier secret ; son discours (séance du 19 décembre 1898), 464-465. — Conditions posées par lui à la communication du dossier secret à la Chambre criminelle, 468-469. — Charge Cuignet de présenter ce dossier à la Cour, 469. — Soumet au Conseil des ministres (27 décembre 1898) le rapport de Cuignet contre Du Paty, 469-470. — Demande à la Chambre criminelle d’entendre Roget, 519. — Se prononce au Conseil des ministres (27 janvier 1899) pour le projet de dessaisissement, 531. — Vote la loi au Sénat, V, 21, note 3. — Son discours sur l’amendement tendant à la suppression des attachés militaires (séance du 11 mars 1899 à la Chambre), II, 85, note 2 ; V, 35 et note 3. — Interdit aux militaires de s’affilier à la Ligue de la Patrie française, 36. — Sollicité par Picquart de rechercher les responsabilités engagées dans les divers incidents de l’Affaire, 49, note 3. — Ses lettres à Mercier au sujet du commentaire de Du Paty, 62 et note 3. — Rétablit les mensualités de Lajoux, II, 579, note 2 ; V, 64-65. — Son conflit avec Delcassé au sujet de la dépêche du 2 novembre 1894, 66-67. — Conteste le témoignage de Paléologue, 68-69. — Paraît ajouter foi aux allégations de Cuignet arguant de faux le décalque officiel de la dépêche, 71-73. — Démarche de Jamont auprès de lui, relatée par le Moniteur du Calvados, 81, note 1. — Interpellé par Gouzy au sujet de l’incident Duruy, sa réponse (séance du 5 mai 1899), 79-82. — Donne sa démission, 82-83. — Félicité par Jamont et par d’autres généraux ; déclarations qu’il aurait faites ; au sujet du Syndicat, 83, 332-333, 441. — Interpellation Berry sur sa démission (séance du 8 mai 1899), 84. — Sa déposition au procès de Rennes, 440. — Son entretien avec Monod à la gare du Mans ; il dément les propos qui lui sont attribués par Monod, 442, note 1. — Réélu sénateur, VI, 58. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), 311, note 1, 318.

Freystætter (Martin), capitaine, puis commandant. Juge au Conseil de guerre de 1894, I, 385. — Impression que lui produit la déposition d’Henry, 421, note 2. — Ne soupçonne pas l’illégalité de la communication secrète, 438, note 2. — Prend part à la campagne de Madagascar, V, 56-57. — Raconte que Dreyfus a été condamné pour avoir livré les plans de forteresses de la région de Nice, I, appendice, 614. — Son entretien avec le capitaine Picard : il lui révèle la communication secrète, 175-170 ; II, 76 ; V, 57. — Ses doutes sur le jugement de 1894, 57-58. —